Les 7 croyances que j'abandonne en 2025
Hello les amis,
J’espère que vous allez bien et que vous passez d’excellentes fêtes de fin d’année rythmées par les repas à foison et les retrouvailles avec vos proches ! Pour ma part, cette année, je n’ai pas trop la tête à la fête et si je vous écris cette news c’est que je ne suis pas en vacances. Je profite de cette période calme pour faire de l’introspection, me couper des réseaux sociaux et travailler sur les sujets de fond que je n’ai jamais le temps de traiter dans l’année et ça fait un bien fou !
Si ce n’est pas déjà fait, vous pouvez aussi :
Vous procurer mon livre Les Inattendus
Vous créer un réseau authentique avec Le Pouvoir des Rencontres
(Re)découvrir les épisodes de Gatemeri
De quoi allons nous parler aujourd’hui ?
Les 7 croyances que j’abandonne en 2025
Retrouvons-nous à la rentrée
Let’s go sunshine ☀️
Les 7 croyances que j’abandonne en 2025
Pour cette dernière édition de l’année, j’ai hésité sur le ton et la forme que je voulais lui donner. Faire un bilan classique des choses apprises cette année, c’était l’idée initiale. Mais finalement, j’ai eu envie de vous parler de ces croyances limitantes qui m’ont parfois freinée ces dernières années, et dont je compte bien me débarrasser pour accueillir 2025 avec plus de légèreté et d’intention.
Ces deux dernières années (2023 et 2024) ont été marquées par de belles réussites, mais elles ont aussi été confrontantes. En regardant mes photos récentes et anciennes (oui, j’adore revisiter mes souvenirs année après année 😅), j’ai remarqué un shift clair par rapport à 2022. Cette année-là marquait mes débuts dans l’entrepreneuriat (je me suis lancée fin 2021), et je dégageais une vibe que je n’arrive pas tout à fait à définir, mais qui transparaissait dans tout ce que je faisais.
Depuis, mes projets ont grandi, tout comme mes ambitions, mais certaines croyances bien ancrées m’ont parfois freinée. Alors, pour 2025, j’ai décidé de faire ce travail de libération. Certaines, je les ai déjà attaquées en 2024, mais d’autres demandent encore un peu de travail.
Et parce que vous êtes nombreux à me suivre depuis quelques années (pour certains, depuis 2020 !), je me suis dit que partager ces réflexions en toute transparence pourrait peut-être résonner en vous.
1. “Je devrai peut-être me spécialiser”
La société valorise la spécialisation, à croire qu’on est un ovni lorsqu’on aime explorer et travailler dans plusieurs domaines. Pendant longtemps, j’ai cru que ma diversité d’intérêts et de projets était un handicap, et que je devais choisir un domaine pour être légitime.
Aujourd’hui, je peux clamer haut et fort que je suis une multipotentielle, et c’est une force. Mon parcours le prouve :
Avec mon agence TheDots, que j’ai co-fondée, nous aidons les entreprises à aligner leur culture d’entreprise avec leur mission, en combinant business, marketing et RH.
Avec Gatemeri, je regroupe plusieurs activités :
Mon podcast (actuellement en arrêt, mais cher à mon cœur).
Ma formation “Le Pouvoir des Rencontres”, où je partage mon expertise sur l’importance des réseaux et des connexions humaines.
Mes conférences en entreprise, qui me permettent d’inspirer et de transmettre.
Et des projets ad hoc que j’explore au fil des opportunités.
Je n’ai pas UN seul métier, et c’est parfait ainsi. Ce qui relie mes activités, c’est mon Sweet Spot : connecter des personnes et des mondes divers pour créer de la valeur. Je ne serai jamais une experte pointue dans un seul domaine, et je veux l’assumer pleinement.
2. “Je prendrai des vacances quand le rush sera passé”
Cette croyance m’a longtemps piégée. En 2023, je n’ai pris que deux semaines de vacances. Pourquoi ? Parce qu’entre le lancement de notre agence, les travaux/déménagement et l’écriture de mon livre, j’attendais que “le rush passe”. Mais le rush ne passe jamais, c’est une illusion.
Résultat : j’ai commencé 2024 sur les rotules. Je manquais d’espace mental et émotionnel pour vraiment avancer. Alors, j’ai pris des décisions :
Arrêter mon podcast Gatemeri pour alléger mon emploi du temps.
Planifier un mois en solo en Indonésie pour me retrouver et faire le vide.
Pour 2025, je vais encore plus loin :
J’ai déjà réservé mes vacances et mes week-ends, pour éviter de les sacrifier au profit du travail.
Je veux créer un rythme de vie où les pauses sont non négociables, car elles sont essentielles pour clarifier mes idées et nourrir ma créativité.
Mon mantra pour 2025 : les moments de repos ne sont pas une récompense, ils sont un besoin vital.
3. “Je peux me débrouiller seule”
Professionnellement, j’ai toujours compris l’importance d’être entourée. Je prêche moi-même cette idée dans ma formation “Le Pouvoir des Rencontres” : un réseau solide est indispensable pour réussir.
Mais sur le plan personnel, c’est une autre histoire car j’ai longtemps eu du mal à apprivoisé ma vulnérabilité. Ces dernières années, j’ai entamé un vrai travail sur moi-même. Une thérapie de quatre ans m’a aidée à comprendre et déconstruire certains schémas qui me freinaient. En 2024, j’ai continué ce cheminement, notamment sur des sujets profonds liés à mes peurs et mes croyances.
Pour 2025, je veux renforcer cette démarche en restant ouverte à l’accompagnement, parce que personne ne réussit seule. Et parfois, avancer passe par le fait de se reconnecter à soi-même pour surmonter ce qui nous limite, sans pression, mais avec bienveillance.
4. “Je ne suis pas créative”
Comme beaucoup, j’ai grandi avec l’idée qu’il y avait deux types de personnes : les créatives et les rationnelles. Étant très analytique, je m’étais placée d’emblée dans la deuxième catégorie. Pourtant, tout dans la créativité m’attirait.
En 2024, j’ai choisi le mot CRÉATIVITÉ comme mot-clé de mon année, et cela a tout changé :
J’ai commencé par de petites choses : lire davantage, marcher en forêt, essayer des coloriages.
J’ai remarqué qu’en créant de l’espace mental, des idées nouvelles émergeaient naturellement que ce soit dans le business ou dans ma vie perso.
Pour 2025, je veux aller encore plus loin :
Organiser des week-ends d’évasion rien que pour moi.
Visiter davantage de musées et voir plus de spectacles.
Participer à des ateliers d’écriture et explorer d’autres formes d’expression artistique.
Me reconnecter au sport pour équilibrer mon esprit et mon corps.
5. “Choisir c’est renoncer”
Pendant longtemps, cet adage m’a frustrée. L’idée de renoncer à quelque chose en faisant un choix me paraissait insupportable, car je voulais tout. Tout essayer, tout explorer, tout vivre. Mais avec le temps (et un peu de sagesse), j’ai compris qu’il ne s’agit pas de renoncer, mais de préférer : privilégier ce qui compte vraiment dans l’instant, tout en gardant à l’esprit que d’autres opportunités se présenteront peut-être plus tard.
En 2024, j’ai testé cette approche en mettant certains projets en pause. Par exemple, arrêter le podcast a été une décision difficile, car il me tient énormément à cœur. Mais cela m’a permis j’ai pu canaliser mon énergie sur d’autres projets clés qui étaient alignés avec mes priorités du moment.
Ce choix m’a aussi appris à :
Accepter l’impermanence : dire non à quelque chose maintenant ne veut pas dire y renoncer pour toujours.
Recentrer mon énergie : je préfère faire moins de choses, mais mieux, plutôt que de me disperser.
Pour 2025, je veux approfondir cette démarche en clarifiant mes priorités à chaque étape, comme le dit Barack Obama “On peut tout avoir, mais pas en même temps.” Cette phrase me guide désormais. Faire des choix conscients ne limite pas mes ambitions ; au contraire, cela me permet d’avancer avec plus de clarté et de recul.
6. “Il faut faire les choses qu’on s’est promis de faire”
J’ai toujours aimé tenir mes engagements, surtout ceux que je prends envers moi-même. Mais avec le temps, j’ai compris que cette rigueur pouvait parfois devenir une contrainte. J’aime être productive (même si je n’aime pas toujours me l’avouer), et j’ai tendance à me fixer des deadlines strictes, quitte à me mettre une pression inutile.
Un exemple concret : mon livre Les Inattendus. Je l’ai écrit en quatre mois pour respecter une date de sortie qui coïncidait avec l’arrêt du podcast. Résultat : le livre a été bien accueilli, avec de belles retombées presse mais je garde un sentiment d’inachevé. Comme si j’avais précipité le processus et que je n’avais pas pris le temps de vraiment approfondir certaines idées. Cela a même freiné ma motivation à promouvoir le livre, pourtant essentielle pour un auteur.
Ce que j’ai appris :
Revoir ses engagements, ce n’est pas un échec. Parfois, les délais que l’on se fixe ne sont pas réalistes ou ne servent pas l’exigence personnelle que l’on souhaite atteindre.
La lenteur peut être bénéfique. Elle laisse le temps de mieux mûrir ses idées, de se reconnecter à son intention initiale, et de livrer un résultat plus aligné avec soi-même.
Pour 2025, je veux m’autoriser à ajuster mes projets en fonction de mon énergie et de mes aspirations du moment. Tenir mes promesses reste important, mais pas au prix de mon équilibre ou de la qualité de ce que je crée. Le chemin compte autant que la destination, et je veux apprendre à l’apprécier davantage.
7. “Il faut travailler dur pour réussir”
Je finis par cette croyance car elle a la peau dure ! J’avais d’ailleurs écrit une édition à ce sujet (guess when ? En 2022 bien sûr!) : Pourquoi sommes-nous si durs avec nous-mêmes ?
Nous associons trop souvent la réussite à la quantité de travail fourni, en oubliant que la réussite réside dans la valeur créée et l’épanouissement personnel.
Pour 2025, mon mot sera SÉRÉNITÉ : avancer avec intention, ralentir quand c’est nécessaire et savourer chaque étape. Je veux :
Privilégier des projets alignés avec mes valeurs.
Célébrer mes victoires : ne plus passer à la suite sans apprécier le chemin parcouru.
Déléguer et prioriser : accepter que tout ne doit pas reposer sur moi, et dire non sans culpabilité.
En 2025, j’ai bien l’intention d’incarner mon mot pleinement : ralentir, savourer, et avancer avec intention.
Conclusion :
Se libérer de ses croyances limitantes, ce n’est pas un acte ponctuel, c’est un cheminement. Chaque année nous offre l’occasion de faire le tri, de déposer ce qui nous pèse, et d’ouvrir un peu plus d’espace pour nos aspirations profondes.
Et vous, quelles croyances êtes-vous prêts à abandonner pour avancer plus léger et aligné avec vous-même ?
J’adorerais découvrir vos réflexions et vos projets pour l’année à venir. N’hésitez pas à répondre à cette newsletter ou à partager vos pensées, vos mots-clés, vos envies. Après tout, nos échanges sont une de mes plus grandes inspirations !
Retrouvons-nous à la rentrée ✨
Pour démarrer l’année en beauté, venez partager un moment suspendu lors du 3e Gatemeri Connexion sur le thème “La liberté d’être soi : entreprendre pour assumer sa singularité ?”avec :
Catherine Barba, serial entrepreneure, pionière du e-commerce en France et investisseuse
Thibaut de Longeville, producteur et réalisateur (le dernier en date, son documentaire DJ Mehdi sur Arte qui a fait un carton avec 10M de streams !)
La rencontre aura lieu chez Journée (Sentier) dans un cadre très intimiste autour d’un petit-déjeuner gourmet préparé spécialement pour nous.
Au programme :
9h00 : Accueil chaleureux autour d’un petit-déjeuner gourmet (compris dans le tarif)
9h30 : Table ronde avec Thibaut de Longeville et Catherine Barba.
10h30 : Networking
11h00 : Clôture
⚠️ Le nombre de places est très limité et l’enregistrement sera réservé aux membres de la communauté Gatemeri Tribe.
Pourquoi vous ne devriez pas rater cette rencontre ?
Ce débat est pour vous si…
Vous vous demandez comment concilier votre ambition et votre authenticité.
Vous voulez transformer votre singularité en un véritable atout.
Vous cherchez à connecter avec des personnes qui comprennent votre parcours atypique
Vous êtes simplement curieux de découvrir des parcours inspirants et de rencontrer des personnes de manière authentique
Alors, prêts à accueillir 2025 avec un nouveau souffle ? ✨
Je vous souhaite une très belle année dans la joie, la sérénité et l’amour 💛
Keep Shining ☀️
N’Geur